La vie est et resté et restera un mystère des coutumes et des sensations par la défaillance d'appréciation de la nature elle même qui nous remplie pourtant de bonheur pour sauver notre humanité de graves erreurs enfoncées dans des conséquences puériles et par surcroît grave a nous méconnaître nous même de la bonne autorité de conduite à s'estimer, et à se déverser dans l'imaginaire des considérations des autres plus ancestrales à la médiocrité où eux savent pour tant avec intention de la beauté seule de la contemplation par respect de venir à la genèse de la nature en demander des douces considérations de bénédictions propices à l'équilibre de la vie pour se régénérer des bontés louables à se construire et par attention pour ne pas se séparer de la nature car pour la nature comme la terre est la matrice ou le principal de toutes choses ou par appellation de la terre mère, car chaque action faite sur terre demande une action de pardon et de cérémonie de réconciliation par la valeur d'avant et après la vie, pour ne pas se laisser séduire à des considérations malheureuses à souiller leurs âmes par réciprocité de la vie et de la culture du don de la vie, où d'autres c'est une question de vue seule par foutaise de la connaissance humaine liée à la maturité de sa faculté à laisser un engagement non constructif par opposition de la réflexion de la caricature comme un moyen d'exercice de la seule compréhension de la pratique créée par les hommes par sondage de l'étude approfondie de la variété de la connaissance comme substance technique à dénigrer la vision la plus obsolète car primaire à l'évolution humaine, et pourtant c'est cette même évolution humaine qui fait l'objet de toutes destructions de la terre par la reconnaissance de son offre occultée par la cause de la technique ruine de l'espèce humaine.